Investir en Outremer sous la loi Girardin industriel, c’est bénéficier d’une réduction d’impôt largement supérieure au montant de sa mise initiale. Il s’agit en effet d’un outil incontestable de défiscalisation recommandé au contribuable métropolitain fortement imposé. Quelles sont les principales étapes à suivre et en quoi consistent les risques auquel l’investisseur est susceptible d’être exposé ?
De l’achat du matériel à la création d’une société de portage
Dans un premier temps, l’investisseur bénéficie des conseils du spécialiste en montage de dossier Girardin, sur les principaux avantages et les inconvénients du placement ainsi que sur le principe de l’investissement.
L’étape suivante consiste pour l’investisseur à acquérir le matériel de son choix, à faire louer par une entreprise ultramarine répondant aux critères d’éligibilité. Ceci grâce à son apport personnel et à celui d’un organisme de crédit.
Le monteur de dossier juridique crée alors une SAS ou une SNC dont les associés sont l’investisseur, l’organisme financier et l’entreprise ultramarine. La durée de vie de ladite société est de 5 ans : la fin de la période d’engagement se solde par la liquidation de la société de portage créée.
L’investisseur revend alors le matériel loué auprès de l’entreprise exploitante à un prix symbolique, celui-ci étant de un euro.
Tout au long des cinq ans, l’investisseur défiscalise, et ce, immédiatement après l’année de la mise en place du dispositif. Il enregistre généralement un rendement de plus de 20% pendant la première année.
Les risques encourus
Sécurisez votre investissement dom tom avec le groupe profina en prévoyant les risques encourus. Ceux-ci se rapportent d’une part à la solidité du montage, afin d’éviter la défaillance de l’opération. D’autre part, l’investisseur associé se doit de rembourser ses dettes contractées : pour cela, l’aboutissement de l’opération jusqu’à l’échéance fixée doit alors être garanti.
